Il appartint plus tard à la famille de Balay dont il prit momentanément le nom[3].
Il appartient actuellement à la famille de Froissard[4].
Certaines parties de l'hôtel (les façades et les toitures sur rue et sur cour, l'escalier à deux volées, la cheminée monumentale du rez-de-chaussée) sont classées au titre des monuments historiques depuis le [1]. D'autres parties (le boudoir au premier étage avec son décor et les cheminées) sont inscrites depuis le [1].
Architecture
Cet hôtel typique de la fin Renaissance est composé d'un bâtiment principal sur rue avec une imposante façade classique s'élevant à près de 20 mètres de haut, rythmée par la régularité et la symétrie de ses baies et par son portail central. Trois lucarnes monumentales viennent agrémentées sa toiture.
En accédant sous le porche, on découvre un grand escalier d'honneur à deux volées (en forme de fer à cheval), permettant d’accéder aux appartements et organisé autour d'une allée menant à une cour.
La cour est composée d'une galerie loggia et des dépendances[5].
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Mobilier
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L'hôtel possède plusieurs cheminées, dont certaines datent des XVIIe et XVIIIe siècles[1].
↑Édouard Clerc, Jean Boyvin : président du Parlement de Dôle, sa vie, ses écrits, sa correspondance politique, publiée pour la première fois, Besançon, Bintot, , p. XX [lire en ligne].