Il propose une vision globale, tant historique que thématique de la culture en Wallonie. Il explore notamment « la question brûlante de son identité culturelle, à travers les nombreuses expressions artistiques, musicales ou littéraires témoignant de l'émergence d'un sentiment wallon au fil des siècles[2]. »
Pour éviter tout équivoque avec le terme Wallonie[3], Bruno Dumoulin définit pour l'ouvrage la Wallonie comme étant la Région wallonne :
« Précisons enfin, pour éviter toute équivoque, que nous avons pris comme objet de notre analyse la Wallonie telle qu’elle est définie dans la réforme constitutionnelle de 1970, c’est-à-dire englobant la Communauté germanophone, mais sans la Région bruxelloise, même s’il va de soi que la présence wallonne importante à Bruxelles et une culture francophone partagée transcendent les frontières institutionnelles[4]. »
↑« Soutenu par un éditeur important, le Fonds Mercator, une trentaine de scientifiques – dont beaucoup de Liégeois, il faut le reconnaître – vont alors relever ce défi : cerner ce qui fait le passé et le présent culturel de cette région qu’on nomme Wallonie. Première difficulté, quelle Wallonie ? » Marie-Françoise Gihousse, « La culture wallonne, ciment de son identité », L'Avenir, (lire en ligne, consulté le ).