L'Hippodrome de Québec était une piste de course hippique située sur le site d'ExpoCité, dans l'arrondissement de La Cité-Limoilou, à Québec.
Le bâtiment, d'abord nommé Palais central, a abrité à partir de 1917 de nombreuses compétitions sportives dont des courses hippiques. Il est démoli en 2012 pour faire place au Centre Vidéotron.
En 1963, une annexe avec des cloisons vitrées est ajoutée aux estrades. Un Club-house est construit pour accueillir 225 personnes en 1971. Dès 1972, des courses sous harnais ont lieu l'hiver avec un système de chauffage ajoutée aux estrades. De 1977 à 1979, le circuit du Grand Prix de Québec de Formule Atlantique passe devant l'estrade de l'hippodrome. Le bâtiment est modernisé en 2007. Faute d'achalandage, l'hippodrome est contraint de fermer ses portes définitivement en 2011. Le dernier programme de courses eut lieu le dimanche 6 mai 2012[2]. L'édifice en briques et en verre est démoli en octobre et novembre 2012 pour libérer l'emplacement pour le Centre Vidéotron.
Entreprises et organismes à la Direction de l'Hippodrome
1940-1960 - Club de courses sous harnais de Québec - Jos Cauchon - Location
1961-1965 - Club de coures Jacques-Cartier - Donat Simard - Location
1966-1970 - Piste de courses de Québec - Paul Murdoch, Gérard Lapointe et Goerges Larouche - Location
1971-1975 - Club de courses Jacques-Cartier - Donat Simard - Location
1976-1998 - Hippobec inc - Marcel Jobin - Gestion
1998-2000 - Société de promotion de l'industrie des courses de chevaux (SPICC) - Gilbert L'Heureux suivi d'André st-Jean - Gestion
2000-2006 - Société nationale du cheval de course (SONACC) - Jacques Brulotte suivi de Gérald Landry - Gestion
- Marathon rock incluant Nickelback, Bryan Adams, Dream Theater. Spectacle annulé. La première mouture du spectacle aurait inclus ces artistes. La mouture finale aurait inclus Nickelback, Collective Soul, Dream Theater et Mobile
Le logo de la société administrant l'Hippodrome de Québec, Hippobec, fut représenté sur une pièce d'un dollar, en 1985, des Dollars du Carnaval de Québec. Ces pièces de monnaie symboliques étaient vendues chez les commerçants du Vieux-Québec durant la tenue du Carnaval et leur valeur se terminait à la fin de l'édition du carnaval de l'année de frappe de la pièce[3]