Il est joueur au Stade toulousain de 1983 à 1992[4]. Évoluant au poste de troisième ligne, il était le « 4e homme » de la fameuse triplette Janik-Cigagna-Maset[3]. Joueur longiligne (1,90 m, 92 kg) au grand rayonnement, fin et intelligent, il a même dépanné à l'aile en 1988-1989, poste où il avait évolué plus jeune[3].
La saison suivante, il est de nouveau remplaçant en finale du championnat face au SU Agen et entre à la 66e à la place d'Albert Cigagna. Le Stade toulousain s'impose 16 à 6 pour le deuxième titre de champion de France de Lecomte.
Lors de la saison 1988-1989, il joue une troisième finale de championnat, face au RC Toulon, et commence une troisième fois sur le banc. Il remplace Thierry Maset à la 69e minute. Le Stade toulousain s'impose 18 à 16 et est donc de nouveau champion de France.
À la fin de sa carrière, il coupe alors avec le milieu du rugby pour voir grandir ses enfants[1]. Il y revient presque par hasard en 2005, au moment de la célébration des vingt ans du titre de 1985, et s'investit au sein de l'amicale des anciens et rentre au comité directeur de l'association[1].
Il devient ensuite président des anciens joueurs du Stade toulousain et intègre le conseil de surveillance du club ès qualités des Amis du Stade Toulousain.
En , il est élu pour 4 ans président du conseil de surveillance du Stade toulousain[4]. Il succède à Eugène Passerat qui reste membre du conseil de surveillance mais qui a déposé plainte contre X pour abus de pouvoir social et complicité au sein du club[5].