Il s'est fait connaître notamment par la publication de son roman Le Cavalier bleu (1982) et pour son engagement politique en faveur de la monarchie[2],[3].
Il s'appliqua particulièrement à approfondir l'histoire de la France médiévale et aussi à la personnifier dans quelques romans. En 1982, il fonde la revue La Place Royale « revue de combat pour la France », dont la ligne éditoriale s'inscrivait dans le courant traditionaliste, dans la continuité de l'œuvre de René Guénon[4],[5]. Auteur chrétien atypique, il n'approuvait guère les « évolutions » de l'Église romaine[4]. Olivier Gissey le présentait comme l'« une des dernières grandes figures qui incarnaient l'idée royale en France, sur les traces de Joseph de Maistre et de Georges Bernanos[6] ».
Il meurt à 56 ans, à Lavardac également dans le Lot-et-Garonne, le [1].