En 1875, il entre au service du ministère des Affaires étrangères au consulat général de New York. En 1879, il remplace intérimairement le secrétaire consulaire à Apia dans les Samoa allemandes. Devenant vice-consul en 1883, il demeure en fonction sur place jusqu'en 1884[4].
Administrateur colonial
Dès le , von Oertzen devient commissaire impérial de la Nouvelle-Guinée. S'installant à Matupi en Nouvelle-Poméranie. Le territoire est repris et le drapeau allemand hissé le 3 novembre de la même année[réf. nécessaire].
En mai 1885, von Oertzen publie des règlements qui interdisent la vente d'armes entre les habitants, qui soumet l'achat de terres à une approbation et qui limite l'exportation de main-d'œuvre en dehors des plantations allemandes. Ceci entraîne rapidement un différend concernant les droits de propriétés foncières de colons européens, entre autres concernant un lopin d'environ 5 000 hectares d'Emma Coe (surnommé Queen Emma de Nouvelle-Guinée), de l'explorateur Richard Parkinson(en) et du belge Jean Baptiste Octave Mouton[5],[4].
(de) Karl Baumann, Dieter Klein, Wolfgang Apitzsch: Biographisches Handbuch Deutsch-Neuguinea. 1882–1922. Kurzlebensläufe von Kolonisten, Forscher, Missionare und Reisender. 2. verbesserte Auflage. Baumann, Fassberg 2002, S. 341f.
(de) Wilhelm Thedwig von Oertzen(de): Neues über die Tätigkeit des Generalkonsuls Gustav v. Oertzen a. d. H. Kittendorf in Neuguinea. In: Oertzen-Blätter. Nachrichten für die Mitglieder des Geschlechts von Oertzen. Bd. 48, 71, 2005, S. 10–11.
↑ a et b(de) Biographisches Handbuch Deutsch-Neuguinea. 2. Auflage. Fassberg, 2002, S. 341
↑(en) Jean Baptiste Octave Mouton, « The Memoirs », dans Peter Biskup (éd.), The New Guinea Memoirs of Jean Baptiste Octave Mouton, Honolulu, The University Press of Hawaii, coll. « Pacific history series », (ISBN0824803280), p. 33-148
Liens externes
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :