Annoncé le , il s'agit de la plus importante réorganisation de la force de dissuasion des États-Unis depuis la dissolution du Strategic Air Command dont il reprend les traditions.
Le , le commandement est devenu officiellement actif. Le siège comprend alors 900 personnes, et est prévu pour atteindre la pleine capacité opérationnelle le avec un effectif total au de 21 829 personnes (19 321 militaires et 2 508 civils)[5]. La 20e Air Force, l'organisation du service des missiles balistique, passe sous son commandement en et la 8th Air Force, la composante bombardier, passe sous son commandement en [6],[7].
Le , il a été déclaré pleinement fonctionnel et relève du United States Strategic Command, on notera qu'il n'est pas chargé des armes nucléaires tactique[8].
En 2013, le taux de disponibilité des bombardiers stratégiques américains était le suivant, 75 % pour le B-52, 58 % pour le B-1B et 46,8 % pour le B-2[9].
À partir du , il prend sous son contrôle l'ensemble des bombardiers stratégiques américains en service et leur successeur Northrop Grumman B-21, son commandement passant à un général quatre étoiles[10].
Les États-Unis disposent à la fin de la guerre du Golfe de 1991 un total de 290 bombardiers, début 2018, le Air Force Global Strike Command comprend 157 appareils répartis dans 5 escadres comptant un total de 15 escadrons[11].
Le , il annoncé que les deux Wings de B-1B soit les 7th et 28th Bomb Wing, comportant à cette date un total de 63 appareils en ligne et un effectif de 7 000 militaires, passe sous le commandement du Global Strike Command le [13] et intègrent le Eight Air Force.