Le grand-duc Georges fait améliorer l'instruction publique et abolit le servage. Grand esprit, il correspond avec les grands auteurs de son temps, comme Goethe, mais, au fil des années, sa politique s'avère de plus en plus réactionnaire. Pendant la révolution de 1848, il est un adversaire acharné du libéralisme, s'opposant notamment à l'adoption d'une constitution moderne.