La gare est mise en service le 15 juillet 1856 pour le trafic de marchandises. Elle est ouverte au trafic voyageurs en [2].
Elle est initialement dénommée La Petite-Villette avant de prendre plus tard de nom de Belleville-Villette. Elle est mentionnée sous cette appellation dans le rapport sur l’exploitation de l’année 1858[3].
Le 22 août 1944, à l'occasion des combats de la libération de Paris, un train d'essence allemand, destiné au front de Normandie, est attaqué et stoppé dans cette gare par des résistants parisiens[4].
Comme le reste de la Petite Ceinture, la gare est fermée au trafic voyageurs depuis le .
Projets
Cet article ou cette section contient des informations sur un projet ferroviaire.
Il se peut que ces informations soient de nature spéculative et que leur teneur change considérablement alors que les évènements approchent.
La gare de Belleville-Villette, faisant partie de ce segment est de ladite ligne, pourrait alors rouvrir au trafic voyageurs.
Notes et références
↑Bruno Bretelle, « L’action d’une association : l’inventaire de la Petite Ceinture de Paris », Revue d’histoire des chemins de fer [en ligne], 40 | 2009, mis en ligne le 1er novembre 2011, consulté le 18 juillet 2013. URL : http://rhcf.revues.org/728 (paragraphe 9).
↑Pierre-Alain Menant, La Petite Ceinture de Paris et la ligne d'Auteuil, Saint-Jean-des-Mauvrets, Éditions du Petit Pavé, , 176 p. (ISBN978-2-84712-542-9).
↑Pierre-Alain Menant, La Petite Ceinture de Paris et la ligne d'Auteuil, Saint-Jean-des-Mauvrets, Éditions du Petit Pavé, , 176 p. (ISBN978-2-84712-542-9), p. 74.
↑Maurice Juncker, avocat au Barreau de Paris, résidant en août 1944 au 105 de la rue Manin, membre du Comité de libération du 19e arrondissement de Paris, in Vive le son du canon. Choses vues (22 août-3 septembre 1944) (en cours de publication).