Cet article est une ébauche concernant une unité ou formation militaire française.
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La Garde impériale est rétablie par décret du 1er mai 1854 de Napoléon III. L'escadron des cent-gardes, créé par le décret du 24 mars 1854, n'en fait pas partie. Elle est dissoute le 28 octobre 1870 après la défaite de Sedan.
Elle comprend à l’origine :
Le décret du 17 février 1855 ajoute :
À cette date sont créés :
En 1865, après fusion des deux régiments de carabiniers de ligne rétablis en 1825, le nouveau régiment de carabiniers est incorporé à la Garde impériale.
Au début du conflit et jusqu'à la chute de l'empire, la garde impériale entre dans la composition de l'Armée du Rhin. Elle est alors commandée par le général de division Bourbaki, son chef d'état-major est le général Melchior de la Tour d'Auvergne-Lauragais.
La composition de la garde impériale le 1er août 1870 est la suivante[1] :
sous les ordres du général de division Deligny
sous les ordres du général de division Picard
sous les ordres du général de division Desvaux
sous les ordres du colonel Clappier
La Garde impériale fut dissoute à la chute de l'Empire. Toutefois, lors du siège de Paris, les dépôts de la Garde impériale constituèrent les unités suivantes :
La Garde a été successivement commandée par les maréchaux Regnaud de Saint-Jean d'Angély (avril 1856-octobre 1869) et Bazaine (octobre 1869-juin 1870) et le général Bourbaki (juillet-octobre 1870)[4].
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