Elle commence par diriger Waterman, étant la petite-fille de Jules Fagard, fondateur de la branche française (JIF-Waterman). Elle cédera toutes ses parts dans l'entreprise en 1986[3].
En 1991, toujours sur fond de désaccords avec Mourrut, elle est condamnée à 150 000 francs d'amende pour construction irrégulière[8] d'un hôtel de luxe, la Datcha des sables[9], sur la pointe de l'Espiguette au Grau-du-Roi[10].
↑« En désaccord avec Gillette Mme Francine Gomez quitte Waterman », Le Monde, (lire en ligne).
↑D. SCHNEIDERMANN., « Mme Francine Gomez : Zazie en politique », Le Monde, (lire en ligne).
↑CH. FAUVET-MYCIA., « Mme Gomez : pour l'" entreprise" Europe », Le Monde, (lire en ligne).
↑ a et b« Au conseil régional Languedoc-Roussillon Mme Francine Gomez quitte le RPR et rejoint la " majorité présidentielle " », Le Monde, (lire en ligne).
↑Le Monde, « Mme Francine Gomez condamnée à démolir une partie de son hôtel. », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Les déboires de Mme Francine Gomez au Grau-du-Roi " Pour trois rangées de parpaings... " », Le Monde, (lire en ligne).
↑« EN BREF La préparation du référendum du 20 septembre sur le traité de Maastricht Mme Gomez fera campagne pour le " non " aux côtés de M. Pasqua. », Le Monde, (lire en ligne).