Le , il fut élu membre de la Convention nationale par son département, le 5e sur 9.
Il s'y prononce, avec les modérés, pour la détention de Louis XVI pendant la guerre et pour son bannissement à la paix, suivit les inspirations des Girondins, et signe la « Protestation » du contre les événements du précédent. Compris dans les 73 membres décrétés d'arrestation le , il échappe aux poursuites dirigées contre lui, et n'est réintégré à la Convention que le 18 frimaire an III (). Après la fin de la session, la Drôme le renvoya siéger au Conseil des Cinq-cents. Le même jour, il est élu également dans le département de l'Ardèche. François Marbos avait du abandonner ses fonctions d'évêque en 1793 et il disparait de la scène politique, à sa sortie du Conseil des Cinq-Cents, en l'an VI (). Il se retire à Valence où il devient conseiller de préfecture, se réconcilie avec l'Église catholique et meurt en 1825.
↑Selon la tradition il aurait entretenu des relations avec le jeune officier Napoléon Bonaparte alors en garnison à Valence
↑ Société d'archéologie, d'histoire et de géographie de la Drôme, Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, 1916 « L'église constitutionnelle de la Drôme » p. 50-83