Docteur en droit de l'université de Turin en 1834[1], il devient avocat à Annecy en 1837[2]. Membre du conseil provincial en 1834. En 1856, il est conseiller municipal de la ville d'Annecy.
Contrairement à une majeure partie de la France qui porte à l'Assemblée nationale des élus conservateurs, la Haute-Savoie permet à cet élu républicain et ses camarades (Jules Philippe, Alfred Chardon) d'arriver en tête le [3]. Il siège avec la Gauche modérée.
À la fin de la mandature, il retourne à la vie privée[1].
Il meurt « subitement, de la rupture d'un anévrisme, à la chasse », le , au village de Vovray[1], à Annecy[2].
Notes et références
↑ abcd et eFrançois Miquet, « Les représentants de la Savoie au parlement français depuis 1860 », Revue savoisienne, , p. 85 (lire en ligne).