« Forces navales en Extrême-Orient », FNEO (1926-1940)
« Forces navales françaises libres du Pacifique » (1940-1944)
« Forces maritimes d'Extrême-Orient », FMEO (1944-1956) qui comprend durant la guerre d'Indochine à partir de 1947 la DNEO (reformée en 1947) et la Marine d'Indochine
« Forces maritimes du Pacifique » (1956-aujourd'hui)
Historique
Dans les années 1850, la division navale de l’Océanie est constitué de seulement deux ou trois navires et à un peu plus de 300 hommes. Leurs commandants sont alors les gouverneurs (plus précisément les Comissaires navals) administrant Tahiti, Moorea, l'archipel des Tumamotu, les iles Marquises, Tubuai, et à partir de septembre 1853 la Nouvelle-Calédonie[1].
A partir de 1860, l'escadre française opérant en Asie de l'Est est nommée station navale de Saigon puis « division navale des mers de Chine et du Japon »[3].
Division navale des mers de Chine, Escadre d'Extrême-Orient, Division navale d'Extrême-Orient et Forces navales en Extrême-Orient
En 1941, l'aviso Chevreuil, commandé par l'enseigne de vaisseau Fourlinnie, des Forces navales françaises libres est envoyé dans le Pacifique pour des missions de maintien de l'ordre. Avec l'accord de l'amirauté Britannique, il est mis à la disposition du commandant des Forces navales françaises libres du Pacifique, le capitaine de frégate Georges Cabanier. Le Chevreuil fait de nombreuses missions dans cette zone du au mois de [4].
Alain Boulaire, La Marine française : De la Royale de Richelieu aux missions d'aujourd'hui, Quimper, éditions Palantines, , 383 p. (ISBN978-2-35678-056-0)
Dimitri Ignatieff, « Présence dans le Pacifique des navires de la France Libre : Le Chevreuil », Revue Maritime, no 484, , p. 96-99 (lire en ligne, consulté le ).