En 1903 il reprend le mythe du Hans im Schnockeloch – l'éternel insatisfait –, issu de la tradition orale et déjà mis en vers au XIXe siècle par Adolphe Stoeber[3], pour en proposer la première adaptation théâtrale,avec musique, chants et danses[4]. La pièce est créée à Strasbourg pendant la saison 1903-1904.
↑Jeanne Benay et Jean-Marc Leveratto (dir.), Culture et histoire des spectacles en Alsace et en Lorraine : de l'annexion à la décentralisation (1871-1946), P. Lang, Berne, Berlin, Bruxelles, etc., 2005, p. 218 (ISBN3-03910-764-X).
↑Le Jean du Schnockeloch, dessins de E. Schweitzer, poésie de Adolphe Stœber, notice historique par Le Roy de Sainte-Croix, 1880.
↑D'r Hans im Schnokeloch, Volksspiel in vier Aufzugen mit Musik, Gesang und Tanz.
↑J. Benay et J.-M. Leveratto (dir.), Culture et histoire des spectacles en Alsace et en Lorraine, op. cit., p. 218-222
↑(de) Ferdinand Bastian, Mârchenland OriginalMärchen, Strtasbourg, Imprimerie et Edition des Dernières Nouvelles, , 111 p.
Henri Schoen, « Le théâtre alsacien », in Revue alsacienne illustrée, 1903, p. 106-107
Auguste Wackenheim, La littérature dialectale alsacienne : une anthologie illustrée, tome 3, La période allemande, 1870-1918, Prat, Paris, 1997, p. 185-192 (ISBN2-85890-317-4)