L'exposition est retardée à cause de la guerre franco-allemande de 1870[3]. Une première inauguration est prévue le [3]. L'exposition ouvre finalement le .
Elle ferme le .
Plusieurs guides destinés aux voyageurs sont publiés à l'occasion de cette exposition[4].
Installations
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La galerie de l'exposition est constituée de onze salles, organisées de manière thématique[5].
Bilan
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L'exposition est un échec sur le plan commercial et financier[6].
Références
↑Christelle Lozère, « Expositions provinciales et identités coloniales au XIXe siècle », Diacronie. Studi di Storia Contemporanea, nos 18/2, (DOI10.4000/diacronie.1207, lire en ligne, consulté le ).
↑Iris Bronner, « Expositions universelles : quand Lyon était au centre du monde », Tribune de Lyon, (lire en ligne).
Gérard Corneloup, « Expositions internationales », dans Dictionnaire historique de Lyon, Lyon, Éditions Stéphane Bachès, , p. 459-461.
Émile Deleage, « Heurs et Malheurs de l'exposition universelle de 1872 (suite) », Rive gauche, no 61, , p. 14-17 (lire en ligne [PDF])
Philippe Dufieux et Romain Billard, Lyon 6e, histoire, architecture, patrimoine, Lyon, Mairie du 6e arrondissement : Association pour la promotion du patrimoine de Lyon 6e, (lire en ligne), p. 44-45.
Claude Prudhomme, « Lyon expose, Lyon s'expose : 1872 - 1984 - 1914 », dans Pierre Vaisse (dir.), L’esprit d’un siècle : Lyon 1800-1914, Lyon, Fage Éditions/Ville de Lyon, , p. 298-311.
Germaine Vieux, « Heurs et Malheurs de l'exposition universelle de 1872 (suite) », Rive Gauche, no 60, , p. 17-21 (lire en ligne [PDF])
Germaine Vieux, « Heurs et Malheurs de l'exposition universelle de 1872 (suite) », Rive Gauche, no 62, , p. 18-21 (lire en ligne [PDF])