Eugênia a obtenu un emploi au journal A Rua, non pas en tant que journaliste, travaillant dans la salle de rédaction, mais en tant que reporter de rue, une activité, à l’époque, pas encore très courante au Brésil, même pas pour les hommes[2].
Eugénie n’avait alors que seize ans. Le fait a suscité l’attention de certains organes de presse de la ville, qui ont enregistré les nouvelles de manière satirique[2].
↑Valentine Mercier, « Chapitre 1. Représentativité des militantes en regard de la société », dans Mouvements féminins et Parti communiste au Brésil (1945-1961), Éditions de l’IHEAL, coll. « Chrysalides », , 45–61 p. (ISBN978-2-37154-125-2, lire en ligne)
(pt-BR) As Amargas, Não..., Academia Brasileira de Letras, coll. « Coleção Afrânio Peixoto », (ISBN978-85-7440-112-6)
Paulo Bastos Cezar, Paulo Bastos Cezar et Paulo Bastos Cezar, A Casa da Gávea Pequena: na memória da cidade do Rio de Janeiro, Casa da Palavra, (ISBN978-85-87220-99-8)
Nelson Werneck Sodré, História da imprensa no Brasil, Mauad, (ISBN978-85-85756-88-8)
Eulália Maria Lahmeyer Lobo, Portugueses en Brasil en el siglo XX, Ed. MAPFRE, coll. « Colección Portugal y el mundo », (ISBN978-84-7100-616-5)
(pt-BR) As Amargas, Não..., Academia Brasileira de Letras, coll. « Coleção Afrânio Peixoto », (ISBN978-85-7440-112-6)