La série accompagne plusieurs étudiants de l'université Gallaudet à Washington, une université pour sourds et malentendants. Ces derniers sont Dalton et Rodney, copains footballeurs, Cheyenna, l'influeuse, Tessa, venant d'une riche famille sourde, Renate, se décrivant comme militantepansexuelle, et Daequan, luttant contre son enfance difficile. Ces étudiants sont issus de familles sourdes depuis plusieurs générations ainsi que de familles dans lesquelles ils sont la seule personne sourde. Leurs antécédents culturels diffèrent en conséquence.
La série est produite par la sociétéHot Snakes Media, dont Eric Evangelista et Shannon Evangelista sont producteurs délégués aux côtés de Nyle DiMarco et Brandon Panaligan[1].
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Titre original : Deaf U
Titre français : Deaf U : Le Campus en langue des signes
Mon oreille gauche déconnait (My Left Ear Broke as S**t)
J'ai tant de questions (I Have So Many Questions)
Je ne suis pas assez sourde ? (Am I Not Deaf Enough?)
Tu m'as déjà oublié ? (Are You Over Me?)
Tu amènes souvent des filles ici ? (Do You Usually Bring Girls Here?)
Alors je casse des trucs ! (So, I Smash Things)
Pour la vie, bla bla bla (I Really Love You, Blah, Blah, Blah)
Faut grandir un peu (It's Time to Grow Up)
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Critique
Megan Vick de TV Guide souligne que la série est « immédiatement intéressante grâce aux acteurs » et compare cette série documentaire à d'autres Cheer et Love on the Spectrum sur Netflix. Elle recommande la série sur la façon d'« équilibrer habillement des poinçons improvisés… avec cœur ». La critique résume, « l'accroche de la série est évidemment le regard intérieur sur la façon dont une communauté a créé une culture riche et dynamique avec une identité que le monde extérieur n'a souvent été considérée que comme un handicap, et la série obtient des résultats. Le motif est de rester avec la vraie valeur de la série en faisant connaissance avec les étudiants qui explorent au fur et à mesure la véritable vie vers l'avenir »[9].
Inkoo Kang de The Hollywood Reporter la voit « plus impressionnante comme une avancée figurative que la téléréalité » et ne la trouve pas « exceptionnelle » à part « la discussion sur la politique et la culture des sourds »[10].