Trois ans après une difficile rupture sentimentale et une grave chute à cheval qui ont bouleversé sa vie, Alexandra Balzan réapprend à vivre et à aimer grâce à la rencontre troublante avec un vieil écuyermisanthrope (Sami Frey) et de son cheval, dans un centre équestre abandonné, à Beauvais.
« Si vous voulez qu'il vous aime ayez au moins la politesse de ne pas charger vos problèmes sur son dos. »
« Si les chevaux nous portent c'est qu'ils sont gentils. Ils ont la gentillesse de nous supporter. Ils nous supportent et ont parfois la bonté de nous faire don d'une toute petite part de leur grâce, nous n'avons rien inventé, rien. »
« Vous aviez le temps de le monter mais pas de le sortir, mais on donne quoi quand on ne donne pas son temps ? »
« Se contenter de peu et jouir de chaque chose; ce n'est pas le but qui compte, c'est le chemin. »
« Maintenant on a les murmureurs... qui murmurent. // Et vous aussi vous murmurez ? // Ah non, moi j'observe, je cherche, je me trompe et puis j'apprends. »
« Pourtant on ne s'ennuie jamais car l'ennui vient quand on ne se regarde plus. Et on ne peut pas ne pas regarder un cheval, regarder l'autre, regardez-le vraiment et jamais, jamais vous ne vous ennuierez. C'est ça le sentiment équestre et ça n'est rien d'autre que de l'amour. »
« Vous savez donner aux chevaux, mais vous ne savez pas donner aux hommes. »
« Ça fait dix mille ans que les humains tentent de dresser les chevaux, dix mille ans qu'on tombe, dix mille ans qu'on se relève, qu'on invente des voitures, qu'on invente des avions et pourtant on continue de monter à cheval. »
Critiques
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?