Fils d’ouvriers et petit-fils d’agriculteurs, il grandit au cœur du Perche, à Suré. Après avoir obtenu son baccalauréat à Mamers, il poursuit des études de commerce à Paris. Il occupe ensuite un poste de commercial dans plusieurs entreprises sarthoises du secteur automobile. D'abord adhérent à l'UMP de 2011 à 2013[1], il rejoint En marche en 2016 et crée un comité local au Mans[réf. nécessaire]. Il devient ensuite référent des Jeunes avec Macron en Sarthe[source insuffisante].
Spécialiste du transport routier et des infrastructures, il signe plusieurs rapports sur le sujet[3]. Auteur d'un rapport sur les véhicules légers, il rassemble autour de lui plusieurs députés pour négocier avec le gouvernement et parvient, en 2018, à faire passer deux propositions fiscales sur le sujet via des amendements[4]. Il est l'un des deux responsables du groupe LREM sur le projet de loi d'orientation des mobilités, dont il coordonne les volets « gouvernance » et « infrastructures »[5],[3].
En 2019, après avoir voté en faveur du traité de libre-échange CETA, il reçoit des menaces venant d'agriculteurs et décide de ne plus se rendre aux comices agricoles de sa circonscription[6].