En 1990, il revient au Vatican pour devenir sous-secrétaire pour les relations avec les États au sein de la Secrétairerie d'État. Il reste cinq ans à ce poste où il permet notamment l'établissement de relations diplomatiques avec Israël, en 1993.
En , il est à l'origine de la création du compte Twitter du Pape et c'est lui qui apporte la tablette numérique permettant à Benoît XVI d'envoyer « son » premier tweet[2].
Il prend congé de ses fonctions de président du Conseil pontifical pour les communications sociales en à la suite de la réorganisation des moyens de communications du Vatican notamment avec la création du secrétariat pour la communication. Il explique qu'il pourra ainsi se consacrer à la résidence Nazareth à Rome qui aide les étudiants brillants démunis[4].
Il fait partie des principaux négociateurs du Saint-Siège ayant permis à l'aboutissement d'un premier accord avec ce dernier et la république populaire de Chine qui ouvre la porte aux nominations d'évêques reconnus par les deux entités[5], il est particulièrement remercié par le pape François au retour de son voyage dans les pays Baltes[6].