Très vite, les titres de ses œuvres deviennent plus elliptiques, parfois teintés de connotations musicales (Scherzo lunaire, 1894, localisation inconnue) et l'origine de ses peintures de moins en moins identifiable.
Cette structuration de l'espace et l'exacerbation des formes et couleurs que commentait André Mellerio (1862–1943) dans son livre Le Mouvement idéaliste en peinture (1896), se retrouvent dans de nombreuses œuvres de Charles Guilloux comme Lever de lune sur un canal (Moulins, musée Anne-de-Beaujeu) ou Paysage au crépuscule (Beauvais, musée départemental de l'Oise)[3].