Il est le fils de Charles Churchill († 1758), un ministre anglican, qu'il remplace dans une des paroisses de Londres, et d'Anne († 1768), qui est peut-être écossaise[1].
Ses principaux poèmes sont :
La Rosciade, contre les comédiens de son temps ;
Le Revenant ;
La Prophétie de famine, contre les Écossais ;
L'Auteur ;
L'Épître à Hogarth, satire sanglante contre cet artiste.
On a publié en 1804 ses œuvres en 2 volumes in-8, avec notes.
Notes et références
↑ abc et dJames Sambrook, « Churchill, Charles (1732–1764) », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004; édition en ligne : octobre 2006.