Il sculpte en pierre le Monument aux morts de Gennes (1920) composé d'une colonne surmonté d'un coq ailes ouvertes avec à son pied la statue d'un poilu jouant du tambour[5].
Marié en 1914 à Yvonne Bonnemère de Chavigny, issue d’une famille d’avocats des environs de Saumur aux opinions contre-révolutionnaires et antirépublicaines, il exprime avec véhémence ses idées réactionnaires en exposant la statue en plâtre de La Carmagnole () au Salon de 1923, illustrant l’assassinat de Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan durant les massacres de Septembre, avec un sans-culotte exalté brandissant par les cheveux la tête décapitée de la princesse de Lamballe, conservé à Vizille au musée de la Révolution française[3].
↑ a et bAlain Chevalier, « La Carmagnole de Gaston Doumergue, une period room du Musée de la Révolution française à Vizille », La Révolution française, no 20, 2021 (en ligne sur journals.openedition.org).