Dans son diocèse, il s'emploie à rétablir le culte catholique qui avait pratiquement disparu du Vivarais. Pour ce faire, il fait appel à Jean-François Régis « à porter le secours de sa parole » aux habitants de Saint-Agrève, sur le plateau ardéchois, ainsi qu'à ceux d'autres villages, jusqu'aux marches du Forez. Pour former des prêtres, il établit un séminaire à Valence. Il participe aux assemblées du Clergé de 1625, 1635 et 1645[2]. Il fait également réparer les palais épiscopaux de Valence et de Die et c'est lui qui fait poser en 1638, sur le tombeau de Jean de Monluc, dans la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse, la plaque funéraire gravée qui s'y trouve encore. Il meurt à l'âge de 62 ans le au Mesnil près de Saint-Germain-en-Laye mettant ainsi fin à la transmission familiale de l'évêché de Valence qui se perpétuait depuis le milieu du siècle précédent.
Notes et références
↑François Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles, Paris, 1775, p. 159.
↑Charles Louis Richard, Dictionnaire universel, dogmatique, canonique, historique, volume 5, p. 474.