Les travaux d'immobilisation pour l'ensemble du projet pilote d'O-Train entraînent une dépense de 21 M$ pour la ville d'Ottawa[6],[7]. La station est inaugurée le [8],[9]. Après un an de service, Carleton est la station la plus achalandée de la ligne[7].
En 2014, des travaux majeurs sont annoncés pour améliorer la ligne[10], notamment en ajoutant des édicules munis de salle de contrôle aux stations. Les salles de contrôles comprennent des portillons d'accès avec lecteur de carte à puce permettant l'introduction d'un nouveau mode de paiement. Les édicules sont inaugurés en [11]. Les travaux d'amélioration à la ligne comprennent aussi l'ajout d'une œuvre d'art à la station en 2015, financée en partie par un programme d'art public de la ville d'Ottawa[12],[13].
Aménagement
Les quais latéraux de la station sont érigés au niveau des rues environnantes. Chaque quai est accessible par son propre édicule comprenant une salle de contrôle munie de tourniquets. Depuis les édicules, deux rampes d'accès convergent dans un tunnel sous les voies qui permet de passer d'un quai à l'autre[1].
L'œuvre d'art public de la station est une sculpture d'aluminium réalisée par Stuart Kinmond. Une série d'o stylisés inspirés du logo d'OC Transpo évoquent le mouvement et le déplacement des trains[12],[13].
↑Geoff Noxon, O-Train : Projet d’un train léger sur rail, Ottawa, Transport Canada, coll. « Études de cas sur le transport durable », , 9 p. (lire en ligne)
↑Jean-François Bertrand, « Le O-Train [sic] roule enfin! », Le Droit, , p. 12 (lire en ligne)
↑(en) Carolynne Wheeler et Mohammed Adam, « Future of O-Train 'a real gamble': Expectations run high as train scheduled to pull out of station today », The Ottawa Citizen, , p. B1 (lire en ligne)