Il est maire de Papara, a été membre de l'Assemblée de la Polynésie française (circonscription des îles du Vent) et du gouvernement de Polynésie française ; il fut député à l'Assemblée nationale pour la 2e circonscription de Polynésie (Est) durant la XIIIe législature, de 2007 à 2012.
En , il fut condamné par la CTC à rembourser la somme de 27,6 millions de francs CFP (conjointement et solidairement avec Gaston Flosse), pour le volet financier d'une affaire d'emplois fictifs[2].
En , il fut condamné à trois mois de prison avec sursis et trois ans d'interdiction d'exercer une fonction publique pour détournement de fonds publics et prise illégale d'intérêts, ainsi que de rembourser 4 296 000€ solidairement avec 56 autres condamnés dans le volet pénal de cette affaire d'emplois fictifs[3].
Associations
1995-2000 : secrétaire général du syndicat A tia i mua
1999-2000 : président du Conseil économique social et culturel de Polynésie française
: élu Conseiller à l'Assemblée de la Polynésie française.* Élu le représentant à l'Assemblée de la Polynésie française (début du mandat : 03.06.04 (arrêté no 27/2004/APF/SG du 03.06.04.)
Opte pour les fonctions de membre du gouvernement le 02.11.04.
Proclamé représentant à l'Assemblée de la Polynésie française le 23.02.05 par arrêté 029/2005/APF/SG à la suite de l'option de M. Michel Buillard qui renonce à sa qualité de représentant.
Gouvernement de Polynésie française
: ministre des Transports et de l'Énergie.
: ministre de l'Environnement et des Transports, chargé de la sécurité routière et de la ville.
: ministre de l'Environnement, des Transports, chargé de la sécurité routière, à la suite de la motion de censure du gouvernement Temaru votée le 9 octobre 2004.
: vote de la motion de censure du gouvernement Flosse.
Mandats nationaux
Bruno Sandras est élu député député de la 2e circonscription de Polynésie française le , avec 56,96 % des voix.