L'enlèvement le du général américain de l’OTAN James Lee Dozier (libéré par la police le ) à Padoue conduisit à la rupture des Brigate rosse-Partito guerriglia del proletariato metropolitano, la majorité des brigadistes se regroupent alors dans les BR-PCC dès décembre 1981 à la suite de la décision de la Direzione Strategica des Brigades rouges. Dès le 30 décembre, une micro-scission de la colonne vénitienne se fait : la Colonne 2 août.
En 1999, l'appellation réapparaît, utilisée par ceux que les journaux nommeront les Nuove Brigate Rosse (Nouvelles Brigades rouges), responsables des assassinats de Massimo D'Antona (), de Marco Biagi () et d'Emanuele Petri ().
En 2003, le groupe est démantelé par la police italienne. Nadia Desdemona Lioce (déjà condamnée à perpétuité pour une fusillade meurtrière), Roberto Morandi, Marco Mezzasalma, Simone Boccaccini et Diana Blefari Melazzi furent condamnés à la prison à perpétuité par la cour d'assises de Bologne[4].