Prix du Gouverneur général : romans et nouvelles de langue anglaise () Prix James Tait Black () Prix du Gouverneur général : romans et nouvelles de langue anglaise ()
En 1948, il émigre au Canada et obtient la nationalité canadienne au bout de quelques années, cependant en 1966 il s'installe en Californie où il vivra jusqu'à sa mort en 1999, d'une fibrose pulmonaire[2].
Flamenco pour un requiem (sous le pseudonyme de Michael Bryan), trad. Frank Jansen, Presses de la Cité, coll. « Un mystère » no 499, 1959 (Murder in Majorca, 1957)
Opération Danger (sous le pseudonyme de Michael Bryan), trad. Stéphane Rouvre, Éditions de Trévise, coll. « Le Cachet » no 12, 1961 (Intent to Kill, 1957)
Une réponse des limbes, trad. Claude Elsen, Plon, 1964 (An Answer from Limbo, 1962)
Chrétiens, demain (le visiteur), trad. Josette Dadi et Patrick Rafroidi, Université Lille III, 1977 (Catholics, 1972)
Robe noire, trad. Ivan Steenhout, Payot, 1986 (Black Robe, 1985)
Les Trahisons du silence, trad. Catherine Cheval, Éditions du Rocher, 1993 (Lies of Silence 1992)
Dieu parle-t-il créole, trad. Jacques Chabert, L'Olivier, 1994 (No Other Life, 1993)
La Déclaration, trad. Karine Lalechère, L'Archipel, 2004 (The Statement, 1995), adapté au cinéma sous le titre de Crime contre l'humanité
L’Épouse du magicien, trad. Blandine Roques, L'Archipel, 2004 (The Magician's Wife, 1997)