Il se lance dans l’animation socio-culturelle et devient en 1967, secrétaire général du regroupement des associations culturelles et sportives du diocèse de Strasbourg (Avant-garde du Rhin, Foyers-clubs, Fédération des sociétés de chants et de musique, Fédération du théâtre) aux côtés de Marcel Rudloff.
Pendant cette période, il participe à la création de nombreuses associations : Cercle Robert-Schumann, Comité pour Strasbourg, capitale européenne, Centre d’animation musicale de Strasbourg.
De 1979 à 1986, il dirige le quotidien bilingue catholique Le Nouvel alsacien/Der Elsässer. À la disparition de ce dernier en 1986, il crée le mensuel Objectif Alsace.
Il édite le premier manuel d’apprentissage de l’alsacien avec Eugène Phillips et fonde en 1981 avec Raymond Bitsch, « E Friehjohr fer unseri Sproch / Le printemps de la langue régionale », une association pour la défense de la langue alsacienne qu’il préside[2],[3].
De 1982 à 2005, il préside le Centre d’étude et d’Action Sociales d’Alsace (CEAS)[4].
Bernard Deck a reçu en 2002 le Bretzel d'or, pour sa promotion du patrimoine linguistique. Il est trésorier de l’Association de la Presse Catholique Régionale (APCR)[5].
↑Le FriehjohrsSchwälmele est un prix qui « récompense les acteurs du dialecte au quotidien, les « petites mains » de la promotion dialectale, mais sans qui rien ne serait possible. »