Né en 1875 à Copenhague[2], Christensen obtient son doctorat en 1903[1]. C'est Les Mille et Une Nuits qui éveille son intérêt pour le Moyen-Orient. Le sujet de sa thèse de doctorat porte sur Omar Khayyam, un mathématicien renommé iranien. Promu professeur à l'Université de Copenhague en 1919, il devient ainsi le premier universitaire danois à détenir ce titre dans le domaine de la philologie iranienne[2].
Bibliographie
(en) Arthur Christensen, « Some Notes on Persian Melody-Names of the Sasanian Period », dans Dastur Hoshang Memorial Volume: Being Papers on Iranian Subjects, Bombay, Fort Printing Press, (OCLC500234890, lire en ligne)
↑ a et b(en) Mette Hedemand Søltoft, « The Danish Orientalist Arthur Christensen's Visit to Iran in 1929 and His Meeting with the Iranian Intelligentsia », Iranian Studies, vol. 55, no 1, , p. 3 (DOI10.1080/00210862.2020.1860402, S2CID233902335)