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10 août ( du calendrier julien), Russie : ouverture des travaux de la grande commission réunissant des représentants de toutes les classes de la société (à l’exclusion des serfs, 50 % de la population) pour la rédaction d’un projet de code[1]. Elle sera dissoute l’année suivante sans résultats ()[2]. L’impératrice Catherine II de Russie présente à cette occasion ses théories politiques (Montesquieu, Beccaria) à l’intention de la commission des lois dans le Nakaz (« Instruction ») et son complément publié le [3].
↑Jean-Henri Schnitzler, L'Empire des tsars au point actuel de la science, vol. 1, Veuve Berger-Levrault, (présentation en ligne)
↑Yves Cartuyvels, D'où vient le code pénal ? : une approche généalogique des premiers codes pénaux absolutistes au XVIIIe siècle, De Boeck Supérieur, , 404 p. (ISBN978-2-7603-0432-1, présentation en ligne)