Vers 430-225 av. J.-C.[2]. : une ville nouvelle sur un plan en damier est établie sur l’oppidum d’Ensérune (Hérault). Aux cabanes et aux humbles maisons succèdent des demeures plus grandes et mieux construites[3].
À partir de 430 av. J.-C. environ : les Romains et les Latins alliés prennent l’offensive contre les Volsques et les Èques[4]. Les montagnards sont refoulés ou contrôlés, les Sabins eux-mêmes cessent d’être une menace pour Rome après l’échec d’Appius Herdonius dans le Latium (460 av. J.-C.).
Vers 430-425 av. J.-C. : Néhémie, après avoir été rappelé quelque temps auprès d’Artaxerxès Ier (433), revient à Jérusalem et s’efforce de faire respecter la loi deutéronomique dans toute sa rigueur[5]. Il dénonce les agissements du grand-prêtre Elyashib en faveur de son propre parent Tobiah, gouverneur d’Ammon, exclu de l’assemblé israélite et réorganise le service de la dîme en faveur des lévites. Il s’oppose aux mariages avec des étrangères et impose le respect du sabbat en fermant les portes de Jérusalem pour empêcher tout commerce ce jour-là.
la population de Syracuse atteint environ 250 000 habitants, dont 20 000 citoyens. Sa richesse lui permet d’entretenir une centaine de trières et d’accroître son infanterie et sa cavalerie[8].
↑Nicolas Richer, Atlas de la Grèce classique. Ve – IVe siècle avant J-C., l'âge d'or d'une civilisation fondatrice, Autrement, 97 p. (ISBN978-2-7467-4570-4, présentation en ligne)
↑André Bazzana, Maisons d'Al-Andalus : habitat médiéval et structures du peuplement dans l'Espagne orientale, vol. 1, Casa de Velázquez, , 823 p. (ISBN978-84-86839-31-4, présentation en ligne)
↑Charles Picard, « Un oppidum languedocien : Ensérune », Journal des Savants, no 2, , p. 49-67 (présentation en ligne)
↑André Piganiol, Histoire de Rome, Presses universitaires de France, (présentation en ligne)