Elle est membre du Conseil d'État du canton de Genève depuis le , à la tête du département de l'instruction publique, de la formation et de la jeunesse.
Elle grandit à Carouge[6] et y suit toute sa scolarité[8]. Elle obtient une licence en droit en Allemagne[8] en 1996 et le brevet d'avocat genevois en 2000[2]. Elle fait son stage dans le cabinet du conseiller national libéral-radical Christian Lüscher[9].
Elle est nommée secrétaire générale adjointe de la Chambre genevoise immobilière en 2008[2].
Séparée[4] (elle est aussi connue sous son nom de mariage Anne Hiltpold Lädermann[10],[11]), elle est mère de deux enfants[2].
Elle est élue au Conseil municipal (législatif) de Carouge en 1999. Elle en démissionne en 2009 à la suite de sa séparation d'avec son mari[4] avant d'être réélue en 2011. Présidente de la section carougeoise du Parti libéral-radical à partir de 2012, elle préside également le législatif carougeois[2] du au 30 mai 2014[12].
Elle est élue au Conseil administratif (exécutif) de Carouge au second tour le [13]. Elle y est chargée de la petite enfance, des ressources humaines, du social et de la police municipale[5]. Elle est facilement[7] réélue au premier tour le [14]. Elle exerce la fonction de maire du au [15] et du au [16].
Elle est désignée le [17] candidate officielle de son parti au Conseil d'État, aux côtés de la sortante Nathalie Fontanet[6]. Elle crée la surprise en se plaçant à la quatrième place au premier tour[7]. L'ensemble de la droite se réunit au sein d'une même alliance pour le second tour et elle est élue en deuxième position le [18]. Elle se voit confier le département de l'instruction publique, de la formation et de la jeunesse[19].
↑ ab et cSylvia Revello, « Élections genevoises : Anne Hiltpold, la patiente ascension d’une héritière », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bJan-Hess Isabel, « Anne Hiltpold veut inciter les jeunes à rester à Carouge », Tribune de Genève,
↑Isabel Jan-Hess, « Anne Hiltpold quitte le Municipal de Carouge », Tribune de Genève, , p. 18
↑Cynthia Gani et Sandra Moro, « À un homme près, il n'y a plus que des femmes pour gouverner Carouge », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )