Sondjreyes dins les schavêyes (Songeries dans les chemins creux, 1951)
Maurice Piron pense qu'Anatole Marchal a réinvesti dans son terroir dinantais, tout un matériel folklorique composé de légendes et d'êtres fantastiques ou surnaturels […] L'animisme ingénu prêté aux éléments et aux choses, la fraîcheur du coloris font oublier ce qu'il y a d'un peu factice dans ces affabulations nées du désir de recréer le charme du "bon vieux temps"[2].