Mamadou Tandja est évincé par un coup d'État militaire le et son gouvernement est dissous. Ali Lamine Zeine, l'un des principaux collaborateurs de Tandja, est l'un des trois ministres qui n'est pas rapidement libéré de sa résidence surveillée dans les jours qui suivent le coup d'État[4]. Selon le colonel Djibrilla Hima Hamidou, l'un des chefs de la junte, les ministres « encore sous surveillance » auraient détenu des « portefeuilles très sensibles » et il était donc nécessaire « d'assurer leur sécurité ». Le Mouvement national pour la société de développement (MNSD-Nassara) demande la libération de Zeine, Tandja et des autres[5].
↑« Niger : Ali Lamine Zeine nommé premier ministre par les putschistes, une émissaire américaine reconnaît des discussions « difficiles » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )