C'est Yamanaka qui s'est rendue au Monténégro lors de son indépendance de juin 2006, à la fois pour reconnaître son indépendance et pour mettre officiellement fin à un état de guerre qui durait techniquement depuis 102 ans[5].
Elle échoue à se faire réélire en 2009, et se retire de la vie politique nationale.
Elle conserve néanmoins un poste de conseillère à l'échelle locale dans la ville de Sapporo, où elle est nommée en 2019 conseillère du gouvernement de la ville de Sapporo en matière d'affaires étrangères et de politique internationale[6].
Carrière post-électorale
Yamanaka continue son travail de professeur et de conférencière après sa carrière politique, organisant notamment plusieurs conférences sur les relations internationales du Japon dans plusieurs universités et instituts japonais. Elle rejoint notamment l'Institut japonais des affaires internationales[7]. Elle rejoint également le think tankGenron NPO(en) en 2014[8].
Elle continue également sa carrière académique dans plusieurs universités britanniques, comme Cambridge et Oxford ou l'université d'Harvard[4].
Prises de positions
Lors de sa carrière académique ou politique, Yamanaka se spécialise dans les relations internationales et le maintien de la paix, via la diplomatie préventive et l'étude de la négociation[4].
Elle est également très impliquée dans la prévention des catastrophes naturelles, étant notamment présidente de l'association de prévention internationale des tsunamis[4].