Cet article est une ébauche concernant une unité ou formation militaire française.
Le 5e régiment de commandement et de soutien est une unité de commandement française.
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[1]:
L'insigne régimentaire reflète l'histoire et la composition du régiment : l'aigle impérial rappelle la création du 5 par Napoléon Ier, la roue crantée est le symbole du train, la cavale de Stuttgart marque son appartenance à la 5e DB, enfin les couleurs des quartiers illustrent son caractère interarmes avec le vert du train, le bleu des transmissions, le gris du matériel et le rouge du service de santé.
Insigne homologué le 2 juin 1978 sous le numéro G 2627[2]. Il existe également un insigne de prestige avec devise[2].
Créé le 1er juillet 1978 à Landau dans le cadre des Forces françaises en Allemagne à partir du 405e bataillon de commandement et de soutien (405e BCS) de Tübingen, il est le régiment de soutien de la 5e division blindée. Transféré à Baden-Baden dans le cadre des forces françaises stationnées en Allemagne en 1993 au sein de la 1re division blindée, il est dissous en 1999[2].
Héritier des traditions du 5e bataillon du train des équipages militaires (1807-1814), des corps de l’arme portant le numéro 5 jusqu’en 1966 et du train de la 5e DB 1944-1946[2].
Jusqu'alors sous l'étendard du 501e RCS, il reçoit son étendard le 13 octobre 1980. Dans les plis de ses soies, on trouve les inscriptions : « WAGRAM 1909 » « FIGUERAS 1811 » « ELPARRAS 1866 » « GRANDE GUERRE 1914 – 1918 »[2].
Soutenir la 5e division blindée
Lutte contre les risques nucléaires, bactériologiques et chimiques (nbc) technique de décontaminations sur le théâtre opérationnel des personnes et du matériel, assure et maintient les éléments de transmission en postes avancés (50e CT).
Le site non officiel de l'Arme du train et son historique des RCS