Le jurisconsultePapinien, préfet du prétoire, est mis à mort par Caracalla ainsi que de nombreux suspects pour avoir refusé de faire l’apologie du meurtre de Geta[1].
Constitution Antonine : Caracalla promulgue un édit accordant le droit de cité, c’est-à-dire la citoyenneté romaine à tout habitant libre de l'Empire[2]. Caracalla continue la politique de son père en s’appuyant sur les jurisconsultes. L'édit de 212, en augmentant le nombre de citoyens imposables, permet d'augmenter les recettes fiscales[3].
11 juillet : Papyrus Giessen 40. Il comporte une copie de l'Édit de Caracalla et un décret accordant une amnistie à la suite de la mort de Géta[2].
↑ a et bChristian Bonnet et Bertrand Lançon, L'Empire romain de 192 à 325 : du Haut-Empire à l'Antiquité tardive, Éditions Ophrys, , 251 p. (ISBN978-2-7080-0851-9, présentation en ligne)