En automne 2014, des manifestations massives du camp dit démocrate de la population connues sous le terme de révolution des parapluies exigent en vain de Pékin l'instauration d'un suffrage universel « véritable », c'est-à-dire sans parrainage des membres du comité de nomination, pour l'élection du chef du gouvernement. Seuls un quart des électeurs du collège électoral sont issus du camp démocrate[1].
Carrie Lam est considérée comme étant la favorite du gouvernement chinois[2]. Élue, elle devient la première femme à exercer cette fonction.
↑ ab et c« Hong Kong vote dimanche sous l'oeil de Pékin », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
↑Florence de Changy, « Carrie Lam, le choix de Pékin pour diriger l’exécutif de Hongkong », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le ).