אנכ יחומלך מלך גבל בן יחרבעל בן בן ארמלך מלך
גבל אש פעלתנ הרבת בעלת גבל ממלכת על גבל וקרא אנכ
את רבתי בעלת גבל ושמע [..] קל ופעל אנכ לרבתי בעלת
גבל המזבח נחשת זן אש בח[..]ן ז והפתח חרץ זן אש
על פתחי ז והעפת חרץ אש בתכת אבן אש על פתח חרץ זן
והערפת זא ועמדה והר[א]שם אש עלהם ומספנתה פעל אנכ
יחומלך מלך גבל לרבתי בעלת גבל כמאש קראת את רבתי
בעלת גבל ושמע קל ופעל לי נעם תברך בעלת גבל אית יחומלך
מלך גבל ותחוו ותארך ימו ושנתו על גבל כ מלך צדק הא ותתן
[לו הרבת ב]עלת גבל חן לען אלנם ולען עם ארץ ז וחן עם אר
ץ ז [וחן לען] כל ממלכת וכל אדם אש יסף לפעל מלאכת עלת מז
בח זן [ועלת פת]ח חרץ זן ועלת ערפת זא שם אנכ יחומלך
מלך גבל [תשת את]ך על<ת> מלאכת הא ואם אבל תשת שם אתך ואם תס
ר מ[לא]כת זא [ותס]ג את ה[ ]ז דל יסדה עלת מקם ז ותגל
מסתרו תסרח[ו] הרבת בעלת גבל אית האדם הא וזרעו
את פנ כל אלנ ג[בל]
L'Art Phénicien, La sculpture de tradition phénicienne, catalog du musée du Louvre, Département des Antiquités Orientales, A. Caubet, E. Fontan, E. Gubel, 2002, Ed. de la Réunion des musées nationalaux, Paris, p. 64–65.
^כך תואר ב־Ernest Renan, Mission de Phénicie, page 855, "Additions et Corrections Page 176, ligne 4: "Depuis la mission, un important monument égypto-phénicien a été trouvé très-près des tranchées que nous fîmes sur la colline de Gébeil. C'est une stèle en calcaire blanc, peu dur, de 1m, 14 de haut sur 0m, 56 de large, mentionnant une offrande faite par un roi de Byblos à Baalath-Gébeil, représentée en Isis. Il est à souhaiter qu'on publie le plus tôt possible l'inscription phénicienne de quinze lignes qui accompagne le monument. Voici ce que M. Péretié a la bonté de m'écrire sur cetle découverte: «Je ne suis point allé moi-même sur les lieux, dans la crainte d'éveiller l'attention, toujours fàcheuse en pareil cas, de l'autorité locale, surtout depuis les derniers règlements; mais d'après tous les rapports qui m'ont été faits, et que j'ai lieu de croire exacts, la stèle qui porte l'inscription a été trouvée à environ 25 ou 30 mètres de l'angle sud-est du château de Gébeil, tout près d'une maison située en face de ce même angle, et qui doit être le bâtiment qui termine, au sud, l'endroit indiqué sur le plan de la planche XIX de la Mission de Phénicie, comme présentant des «vestiges de constructions anciennes.» C'est en creusant la terre devant cette maison, pour planter quelques arbres, que le propriétaire, un musulman, découvrit une sorte de porte sur le seuil de laquelle se trouvait la pierre en question. Elle était debout, placée entre deux lions, ou pour mieux dire entre deux avant-corps de lions; l'un taillé verticalement à 10 centimètres de la crinière, l'autre presque entier, sauf une cassure vers la queue, et tous deux ayant le long du dos, à partir du cou, une sorte de plate-bande en saillie, destinée peut-être.à supporter la stèle. — Ces lions ont la gueule ouverte; ils sont d'un grand et vigoureux caractère, et paraissent avoir été taillés dans la même pierre que là stèle."
^Dunand, M. (1939). Fouilles de Byblos: Tome 1er 1926-1932. Ouvrage publié avec le concours de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (Fondation de Clerq). Bibliothéque archéologique et historique (בצרפתית). Librarie Orientaliste Paul Geuthner. נבדק ב-2022-01-12. 1321. Fragment inférieur droit de la stèle de Yehawmilk (CIS. I, 1) livrant le début des six dernières lignes de l'inscription... Ce fragment s'engage exactement dans la lacune inférieure droite de la stèle. Malheureusement, il manque encore un éclat pour que celle-ci soit reconstituée dans son intégrité, car si les extrémités de la cassure du fragment retrouvé se raccordent à celles de la cassure de la stèle, la partie centrale reste déhiscente... Le fragment retrouvé ajoute une seizième ligne aux quinze que présente la stèle de la collection de Clercq, ligne arrêtée au tiers de la longueur de celles qui précèdent. Par le hasard de la cassure, aucune lettre n'a subsisté sur la stèle, ainsi que j'ai pu le constater lors d'une visite que le collectionneur parisien a bien voulu me permettre dans ses collections... Nous donnons ci-dessus une copie du texte et une transcription. Pour la traduction et le commentaire on se reportera à notre article du Bulletin du Musée de Beyrouth, II (1938).