Depuis la ville de Valence, préfecture de la Drôme, ce parc zoologique est accessible par la route départementale 111 (RD111) jusqu'à Montoison, puis par la route départementale 125 (RD125) et la route départementale 342 (RD342) en direction d'Upie, selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[3],[4][source insuffisante].[pertinence contestée]
La création s'effectue sur la base de quatre hectares de terrain en friche. En 1983, le parc est classé établissement culturel et touristique par la préfecture de la Drôme. Il s'étend sur deux hectares supplémentaires à compter de 1991 auquel s'ajoute une mini ferme l'année suivante. Durant les décennies 2000 et 2010, d'autres espèces d'animaux tels que des wallabies rejoignent le parc.
Dans la nuit du 22 au , dix bébés lémuriens et deux tamarins à lèvres blanches sont subtilisés lors du cambriolage du zoo d'Upie. À l'occasion d'un banal contrôle routier effectué le , deux caisses contenant huit lémuriens vivants sont découvertes dans un véhicule par la police[8]. Les autres animaux volés sont retrouvés quelques mois plus tard[9].
En , un détenu du centre pénitentiaire de Valence (situé à proximité du zoo) réussit à échapper à la vigilance de ses gardiens et prend la fuite, lors d'une sortie organisée par l'administration pénitentiaire[10].
De février à , une employée du service comptabilité de ce zoo joue le rôle de la mère d'un bébé wallaby et lui sauve ainsi la vie, le petit ayant été rejeté de la poche de sa mère. L'expérience de cette employée permet de sauver deux autres wallabies en France[11],[12].
Fin , une cigogne évadée de la volière du zoo des Abrets en octobre (situé dans le département voisin de Isère), où elle avait été installée, retrouve seule le zoo d'Upie qu'elle avait quitté quatre ans auparavant[13],[14].
Ouvert toute l'année, ce parc à l'entrée payante, présente aux visiteurs deux cents espèces d'oiseaux, correspondant à environ un millier de ces animaux[17][source insuffisante],[18], tels que :
Le zoo accueille plusieurs espèces de mammifères, tels que des zébus, des lamas, des servals, ces derniers étant victimes d'un trafic illégal en France[19], trois spécimens de tamarins empereurs[20][source secondaire souhaitée] et le wallaby, ainsi qu'une espèce de reptile. En outre, ce parc est présenté comme un centre de reproduction pour espèces menacées[21].
Visites
L'accès au zoo est payant. Des soirées réservées aux naturistes sont organisées en 2022 et 2023[22]. La circulation du public se fait dans un sentier balisé et aménagé, visible sur le plan. Les visiteurs n’ont pas accès à l’intérieur des volières et enclos sauf pour la serre tropicale, la volière de contact et la mini ferme.[pertinence contestée]
Selon la demande d'extension adressé à la préfecture de la Drôme en 2022, « le biotope de chaque animal est respecté, un soin particulier est apporté au décor, entièrement naturel. »[23][source insuffisante].
Le parc dispose d’un magasin souvenir à l’entrée, d’une salle restaurant pour l’accueil des groupes et d’un snack-buvette au centre. Les visiteurs disposent d’un abri pique-nique couvert à l’intérieur du parc (à côté du snack) et d’une aire découverte à côté des jeux pour enfants.[pertinence contestée]