Le site est le lieu d’une découverte de de peintures murales, de hiéroglyphes et du plus ancien calendrier lunaire maya (1200 ans) révélés en par Science, qui sont venus contredire la date de comme fin d'un cycle ou du monde prétendument donnée par les Mayas[1], les murs étant couverts de calculs allant au-delà de cette date, certains jusqu'à 7 000 ans[2].
(en) Zender, Marc et Joel Skidmore, 'Unearthing the Heavens: Classic Maya Murals and Astronomical Tables at Xultun, Guatemala'. 2012 Mesoweb: www.mesoweb.com/reports/Xultun.html.