Wiesoppenheim est depuis le un quartier de Worms au Sud du Wonnegau[2]. Le village est situé à quelque 6 km au Sud-ouest du centre-ville, au Sud de Hesse rhénane (Y étant le village le plus Sud) sur l'Eisbach (Rhin) et près de la A 61. Il a une superficie de 310,3 ha donc 2,9 % de celle de Worms.
Héraldique
Blasonnement: les armories de Wiesoppenheim se dessinent sur un bouclier divisé en deux par les couleurs noir et rouge avec deux clés croisées en argent (signe du Wormser Dom) et une épée en argent (visant vers Martin de Tours). En 1957 le ministre de l'intérieur de Rhénanie-Palatinat a autorisé ces armoiries.
Histoire
En 793, Wiesoppenheim est mentionné pour la première fois dans un document du Codex de Lorsch. Sur un champ de tombes franconiens il y avait quelques trouvailles romaines y compris un sarcophage qui prouvaient des traces de colonies. Longtemps Wiesoppenheim appartenait au Diocèse de Worms et avait une compétence de juridiction temporaire.
En 1875, l'Église St. Martinus (style roman du temps des Carolingiens) était détruite et reconstruite en 1875/76 dans le style néo-roman dominant aujourd'hui la silhouette du village.
En 1969, Wies-Oppenheim (nom ancien) devient un quartier de Worms.
Au et du jusqu'au Wiesoppenheim célébrait sa Fête de 1200 années.
Johann Brilmayer, Rheinhessen in Vergangenheit und Gegenwart, Giessen, 1905, pages 469-470
Hermann Schmitt, Geschichte von Horchheim, Weinsheim und Wies-Oppenheim, Worms, 1910
Karlheinz Henkes (éditeur), 1200 Jahre Wiesoppenheim 793 - 1993,Chronik und Festschrift zur 1200-Jahr-Feier 22. Mai und 9. bis 13. Juni 1993, Worms-Wiesoppenheim, 1993
Irene Spille, Stadt Worms, Kulturdenkmäler in Rheinland-Pfalz, vol. 10, Worms, 1992, pages 290-293
Mathilde Grünewald, Ursula Koch, éditeurs: Mathilde Grünewald, Alfried Wieczorek, Worms und seine Stadtteile, Zwischen Römerzeit und Karl dem Großen, vol. 1, Lindenberg im Allgäu, 2009, pages 370-429