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En 2020, alors qu'il n'y a pas de championnat professionnel féminin en Nouvelle-Zélande, pays hôte de la coupe du monde féminine 2023 (avec l'Australie), le Wellington Phoenix, la seule franchise néo-zélandaise de A-League, candidate pour faire entrer une équipe féminine en A-League Women (alors appelée W-League). L'objectif est de développer le football féminin néo-zélandais en faisant jouer les Néo-Zélandaises dans un championnat de haut niveau, le championnat australien. Mais en novembre 2022, la fédération australienne refuse que les joueuses néo-zélandaises ne soient plus considérées comme extra-communautaires, mettant un coup d'arrêt à l'arrivée du Phoenix en A-League féminine[2]. Les difficultés sont aussi financières, notamment à cause du coût des trajets répétés entre les deux côtés de la mer de Tasman[3].
En 2021, le club crée des équipes exclusivement féminines dans son académie[4]. Le Wellington Phoenix peut lancer son équipe féminine fin 2021, en partenariat avec la fédération néo-zélandaise. À cause de la pandémie de covid-19, l'équipe joue sa première saison entièrement en Australie[5].
Pour sa première saison, le Phoenix termine dernier de A-League[1]. Lors de son premier match, l'équipe accroche le nul face aux Western Sydney Wanderers (0-0). Le tout premier but de l'équipe est inscrit par Ava Pritchard lors de la deuxième journée, lors d'une large défaite 5-1 face aux Newcastle Jets[6]. Le club remporte sa première victoire le 11 février 2022 en battant Canberra United 3-0[7].
En 2022-2023, Natalie Lawrence remplace Gemma Lewis au poste d'entraîneure[8] mais le Phoenix termine à nouveau dernier avec seulement 3 victoires. Le Néo-Zélandais Paul Temple est nommé entraîneur à l'intersaison[9]. Le club recrute les Américaines Hailey Davidson, Hope Breslin et Mariana Speckmaier[10], ainsi que la vétérane néo-zélandaise Annalie Longo[1].