Après la Libération, Walter Bacharach émigre en 1946 en Palestine mandataire, où il rejoint le mouvement de kibboutz HaDati et intègre le kibboutzBe'erot Yitzhak. Comme celui-ci est détruit pendant la guerre de 1948-1949, le kibboutz déménage dans le désert du Néguev[3]. Avec sa femme Chana, une survivante hongroise de la Shoah, qu'il a épousé en 1949, Bacharach quitte le kibboutz en 1953 et s'installe à Tel Aviv. Le couple a trois enfants[3]. Bacharach devient enseignant, avant de commencer des études d'Histoire.
Bacharach meurt en . Il laisse derrière lui sa femme, leurs trois enfants et sept petits-enfants[1].
Écrits (sélection)
(he) Antishemiut modernit, Tel Aviv, Miśrad ha-biṭakhon,
(en) Antisemitism, Holocaust, and the Holy See: An Appraisal of Recent Books About the Vatican and the Holocaust, in Yad Vashem Studies XXX
(en) Anti-Jewish Prejudices in German-Catholic Sermons (traduit de l'hébreu par Chaya Galai), Lewiston (New York), Edwin Mellen Press, 1993
(de) en tant qu'éditeur : Dies sind meine letzten Worte …: Briefe aus der Shoah (Original en hébreu par Maurice Tszorf), Göttingen, Wallstein, 2006.
(de) „Dem Tod ins Auge schauen“. Aufsatz zu Ehren von Monika Richarz, in: Marion Kaplan, Beate Meyer (éd.) : Jüdische Welten. Juden in Deutschland vom 18. Jahrhundert bis in die Gegenwart, Göttingen, Wallstein, 2005, pp. 295–303
(de) Dietrich Fichtner, Erst Diskriminierung – dann hundertfacher Mord, Seligenstadt, 12./13., septembre 1992
(de) Walter Zwi Bacharach, « G’tt hat mich geleitet. Emigration – Deportation – Überleben », dans Beate Meyer (Institut pour l'Histoire des Juifs allemands), Die Verfolgung und Ermordung der Hamburger Juden 1933-1945: Geschichte, Zeugnis, Erinnerung, Göttingen, Wallstein, (ISBN978-3-8353-0137-5), p. 156f.