Hunt ne perçut pas l'importance de bon nombre de ses inventions qui sont devenus des produits de grande diffusion. Il vendit par exemple le brevet de l'épingle de sûreté pour 400 dollars (équivalent à 10 000 $ de 2008)[2] à la société W. R. Grace and Co., afin de rembourser un homme à qui il devait 15$. Il ne déposa pas de brevet pour sa machine à coudre, redoutant qu'elle ne mette beaucoup de couturières au chômage. Ceci occasionna d'ailleurs un procès lorsque quelques années plus tard Elias Howe « ré-inventa » la machine à coudre. Tout comme Howe, Hunt repose dans le Green-Wood Cemetery de Brooklyn à New York.
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Bibliographie
(en) Marshall Cavendish Corporation, Inventors and inventions : Accidents and Mistakes, New York, Marshall Cavendish, , 845 p. (ISBN978-0-7614-7761-7, lire en ligne).
(en) Clinton N Hunt et Walter Hunt, Walter Hunt, American inventor, C.N. Hunt, , 75 p. (OCLC250585694)
Joseph Nathan Kane et Walter Hunt (trad. de l'anglais), Necessity's child : the story of Walter Hunt, Americaʼs forgotten inventor, Jefferson, N.C, McFarland, , 318 p. (ISBN978-0-7864-0279-3)