Watson explique pourquoi ils ont donné ce nom à cette espèce[1] :
« One [resource] is particularly outstanding in that we consult it constantly for information on a wide variety of subjects related to our work – Wikipedia, as cited herein for example. The best token return we can think of is to name a plant accordingly, so it therefore gives us pleasure to record our gratitude via the replacement epithet of this species, as a noun in apposition. »
« L’une [de ces ressources] se distingue particulièrement par l’utilisation constante que nous en faisons pour nous renseigner sur un large éventail de sujets liés à notre travail – Wikipédia, pour la citer nommément ici. Le meilleur hommage symbolique que nous pouvions lui rendre était de nommer une plante en son honneur : cela nous donne le plaisir d’exprimer notre gratitude par le biais de l’épithète de remplacement de cette espèce, sous forme de nom en apposition. »
Cette espèce est proche de V. acanthophylla, de V. bustillosia et de V. cheeseana, la dernière étant également récemment décrite dans le même article[1]. Elle se différencie des autres espèces par « un bord des feuilles peu profond et serré et un pédoncule nettement plus court que les feuilles[1]. »
↑ abcdefg et h(en) J.M. Watson, « Lest we forget. A new identity and status for a Viola of section Andinium W. Becker; named for an old and treasured friend and companion. Plus another… », International Rock Gardener, no 117, , p. 47– (lire en ligne)
↑« Contributors », Rock Garden Quarterly, winter 2012–2013 (lire en ligne) :
« John Watson lives in Chile with his wife and working partner, Anita Flores (Ana R. Flores for formal publications). »
↑ a et b(en) Philippi, R.A. (1857) Plantarum novarum chilensium. Centuria prima. Linnaea 28: 612.