Le nom Via Maris, « voie de la mer » en latin, provient d'un passage de l'Évangile selon Matthieu dans la Vulgate : « terra Zabulon et terra Nepthalim via maris trans Iordanen Galilaeae gentium » (chapitre 4, verset 15). Ce passage est une paraphrase du chapitre 8 verset 23 du Livre d'Isaïe (ou chapitre 9, verset 1 dans l'Ancien Testament) prophétisant la conquête assyrienne : « primo tempore adleviata est terra Zabulon et terra Nepthalim et novissimo adgravata est via maris trans Iordanem Galileae gentium »[1],[2].
Elle est également appelée « Route des Philistins », car son tracé traverse la région occupée par ce peuple[1].
↑ ab et cJacques Leibovici, Les télécommunications au premier millénaire av. J.- C. au Proche-Orient ancien, Books on Demand France, (ISBN9782810624379), p.274