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Le film est centré autour d'un jeune garçon qui découvre trois morceaux du compositeur russe Sergueï Prokofiev : Pierre et le Loup puis Roméo et Juliette et enfin Le Bûcher d'hiver, le tout raconté par un étrange narrateur.
David Lowe : le conteur, le loup, le grand-père, le vieil homme, la nourrice
Wilfred George Lowe : Pierre, un chasseur, un pionnier
Nadège Morel : l'oiseau, un chasseur, un pionnier
Xavier Morel : le canard, un chasseur, un pionnier
Adèle Stimaridis : le chat
Sophie Zajaczkowski : Marie
Amos Alexander Lowe : le cow-boy, le bourdon
Clément Stimaridis : Mercutio
Amélie Pinton : Juliette
Jean-Charles Morel : un chasseur, un pionnier
Samuel Goujon : un chasseur, un pionnier
Étienne Zajaczkowski : un chasseur un pionnier
Timothée Zajaczkowski : un chasseur, un pionnier
Florian Béric : un chasseur, un pionnier
Critiques
Un beau matin est très diversement accueilli par les critiques. Toutefois plusieurs d'entre eux mettent en avant le fait qu'il ne semble pas destiné à un large public et insistent sur son aspect amateur. Ainsi, Première le qualifie de « home-movie » et écrit que ce film « bricolé en famille » se regarde « comme la vidéo des dernières vacances à la mer »[4],[5]. Studio magazine se demande quant à lui « s'il aurait dû sortir du cercle privé » et dénonce « la piètre qualité de ses images »[6],[5]. Toutefois, les avis restent variés et divergents puisqu'au contraire le site Critikat.com met en exergue le fait que « les images sont ravissantes »[7]. De même, si Télérama écrit d'abord qu'Un beau matin est « nul et laid, d'un kitsch intense, d'un amateurisme confondant », le magazine note une amélioration tout au long du film puisqu'il reconnaît que la partie concernant Roméo et Juliette est « plutôt séduisante » et trouve dans Le Bûcher d'hiver un film « inventif, drôle, émouvant, tout empli d'astuces rigolotes et d'inventions poétiques »[8]. De même, le site Internet Critikat.com décrit le film comme « drôlement séduisant »,« fantaisiste » et « d'une fraîcheur ravageuse », le considérant finalement comme « une petite révolution »[7].